
Act. 27.08.2010 14:35 Pub. 27.08.2010 14:33
Place financière
Pas d’entente sur l’échange automatique de données
Luc Frieden a participé jeudi soir à une rencontre informelle des ministres des Finances germanophones. La régulation bancaire et l’échange d’informations fiscales étaient au menu du jour.

Le ministre des Finances, Luc Frieden, était à Vienne jeudi soir pour rencontrer ses homologues autrichien, allemand, suisse et du Lichtenstein.
Pour la deuxième fois cette année, les cinq ministres des Finances germanophones se sont rencontrés de manière informelle. La première rencontre avait eu lieu à Luxembourg en février. Jeudi soir, c’est à Vienne que Luc Frieden a rencontré ses homologues autrichien, allemand, suisse et du Lichtenstein.
Le but de ces rencontres : essayer de dégager des points d’accords sur des questions financières. Et les cinq protagonistes se sont entendus a minima concernant la taxation du secteur bancaire : «Nous sommes d’accord sur le fait que nous avons absolument besoin d’une règlementation européenne», a indiqué le ministre luxembourgeois des Finance, Luc Frieden à la radio DNR.
Par contre, les divergences demeurent l’introduction d’une taxe sur les banques pour prévenir d’une prochaine crise financière. L'Allemagne la demande mais le Grand-Duché traine des pieds car cela pourrait le rendre moins attractif au niveau mondial.
Les ministres ont également évoqué les échanges d’informations fiscales. Le Luxembourg et l’Autriche refusent toujours le principe de l’échange informatique, malgré la pression des 25 autres États membres de l’Union européenne. Alors les débats n’ont permis que des échanges de point de vue, sans position communes au final.
lc/lessentiel.lu
Le but de ces rencontres : essayer de dégager des points d’accords sur des questions financières. Et les cinq protagonistes se sont entendus a minima concernant la taxation du secteur bancaire : «Nous sommes d’accord sur le fait que nous avons absolument besoin d’une règlementation européenne», a indiqué le ministre luxembourgeois des Finance, Luc Frieden à la radio DNR.
Par contre, les divergences demeurent l’introduction d’une taxe sur les banques pour prévenir d’une prochaine crise financière. L'Allemagne la demande mais le Grand-Duché traine des pieds car cela pourrait le rendre moins attractif au niveau mondial.
Les ministres ont également évoqué les échanges d’informations fiscales. Le Luxembourg et l’Autriche refusent toujours le principe de l’échange informatique, malgré la pression des 25 autres États membres de l’Union européenne. Alors les débats n’ont permis que des échanges de point de vue, sans position communes au final.
lc/lessentiel.lu
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